Désolé, ce blog n'est pas mis à jour. Les traductions sont en cours. En attendant, vous pouvez aller voir les versions anglaise et allemande de mon blog. Ils sont mis à jour.
vendredi 1 janvier 2010
mardi 13 octobre 2009
... et bien sûr, le mal de mer !
Nous avions eu un peu de malchance avec le temps, car
Lokossa
Cependant nous avons vraiment aimé cette ville. Les gens étaient très amicaux et – à l’opposé de nombreux lieux touristiques - les gens ne demandait pas constamment des cadeaux ou de l'argent. Et les enfants, qui n’avaient pas peur de nous, chantaient joyeusement la chanson suivante à chaque fois qu'ils nous voyaient:
lundi 7 septembre 2009
Les diplomates, vraiment?
Samedi 11 Août, on était au centre de promotion d’artisanat à
Cotonou. On a été étonné d’y trouver de l’ivoire exposé ouvertement. On a demandé à l’artisan d’où venait l’ivoire, et on a été surpris lorsqu’il nous a dit sans souci que cet ivoire venait des éléphants chassés illégalement. On lui a demandé qui étaient les acheteurs car les touristes ‘normaux’ ne peuvent pas passer facilement les frontières européennes avec ces produits
interdits dans leurs poches. Il nous a dit que c’est les diplomates qui les emmènent car ils ne sont pas contrôlés par la douane…
Cela nous a rappelé une conversation que l’on a eue avec le guide de Pendjari qui nous avons raconté que quelques restaurants au Bénin proposaient de la viande d’animaux sauvages. Certainement pas ouvertement, mais si un touriste demande, il pourrait avoir l’opportunité d’être servi
ces viandes précieuses (normalement de la viande d’antilopes). Les animaux sont, ici aussi, chassé illégalement mais – nous a dit le guide essayant de nous rassurer – ce ne sont pas les animaux sauvages du Bénin mais chassés au Togo… (Comme si cela rendait la situation meilleure).
Espérons que les diplomates et touristes deviennent bientôt plus intelligents et arrête de soutenir les tueries illégales d’animaux sauvages en Afrique par leurs comportements.
Cela nous a rappelé une conversation que l’on a eue avec le guide de Pendjari qui nous avons raconté que quelques restaurants au Bénin proposaient de la viande d’animaux sauvages. Certainement pas ouvertement, mais si un touriste demande, il pourrait avoir l’opportunité d’être servi
Espérons que les diplomates et touristes deviennent bientôt plus intelligents et arrête de soutenir les tueries illégales d’animaux sauvages en Afrique par leurs comportements.
La Contribution d’Afrique
Ce que j’ai observé dans pas mal d’endroits en Afrique, c’est que beaucoup
d’africains contribuent à la pollution de la terre, mais il semble soit qu’ils ne s’en rendent pas compte, soit qu’ils ne s’en inquiète pas (J’entend aussi parfois des africains se plaindre des pays occidentaux pour le réchauffement climatique et donc pour la souffrance en Afrique...). On voit les routes pleines de voitures d’occasion qui viennent d’Europe car elles ne pouvaient certainement plus passer le contrôle technique. La situation est similaire pour beaucoup d’appareils domestiques (comme les frigos). On voit aussi souvent des poubelles dans
les rues et en campagne, que les gens parfois brûlent pour s’en débarrasser sans s’inquiéter des fumés toxiques que cela lâche dans l’atmosphère (comme les pneus brûlant sur la photo ci-contre). Les sacs en plastiques sont aussi très facilement donnés pour tout achat… et la liste peut continuer...
Cela est probablement surtout dû à un manque d’argent des africains – car j’imagine qu’ils aimeraient bien avoir une voiture ou un frigo neuf – ou au manque d’infrastructure (comme un propre système de ramassage de poubelle). Mais je crois que c’est aussi dû à une éducation insuffisante et à un manque d’incitations pour changer leurs habitudes...
Cela est probablement surtout dû à un manque d’argent des africains – car j’imagine qu’ils aimeraient bien avoir une voiture ou un frigo neuf – ou au manque d’infrastructure (comme un propre système de ramassage de poubelle). Mais je crois que c’est aussi dû à une éducation insuffisante et à un manque d’incitations pour changer leurs habitudes...
Vivre dans un nuage
Alors, pourquoi y sommes nous néanmoins resté pendant sept longues semaines? C’est à cause de Nico qui a voulu aider une institution de micro finance là-bas. A l’origine, il avait prévu de faire juste quelques entretiens avec des gens qui ont reçu un micro crédit. Mais avant de pouvoir commencer avec cela il a fallu que Nico décide d’aider un peu à améliorer la communication et l’échange d’information entre l’institution au Bénin et son partenaire en France, ce qui nous a fait rester plus longuement que prévu. L’expérience était malgré tout très intéressante pour Nico et moi-même (j’ai aidé Nico avec les entretiens – en étant sa secrétaire et conseillère particulière). On a beaucoup appris sur la micro finance et eu pas mal de conversation intéressante avec les gens du coin et des étrangers sur le développement de l’Afrique.
Il y a eu aussi une lutte d’un mois avec la direction de immigration autour notre visa pour essayer de repousser une amende, ou peut-être mieux décrite comme un pot-de-vin. Ce qui a contribué – avec le fait que Nico est tombé malade au début de notre séjour (et une fois de plus juste avant de quitter Bénin) – à prolonger notre séjour...
vendredi 7 août 2009
Sous le pont
Nico était malade … et qu’est-ce que j’ai fait : Je l’ai laissé sous un pont…
(Avec des mecs très sympa : un d’entre eux à même prêté sa veste à Nico pour qu’il n’ait pas froid et un autre à offert son abris contre le vent … très aimable!)
Je sais j’ai l’air cruel, mais je lui voulais vraiment que du bien. Mais commençons donc au début de l’histoire. Le jour après notre arrivée à Cotonou Nico est tombé malade. Il a eu de la fièvre, des diverses douleurs et des problèmes d’intestin. Il avait assez mal donc nous avons décidé que c’était mieux pour lui d’aller voir un docteur. Le réceptionniste de l’hôtel m’a dit qu’il y avait une clinique juste au coin de la rue. En partant de l’hôtel, Nico est partit plus vite que moi en demandant au portier qui lui a indiqué vers la direction opposé de celle du réceptionniste. Lorsque on est arrivé à la clinique indiquée par le portier, on a vu que c’était une clinique seulement pour les femmes et les enfants, donc pas pour Nico.
On a demandé la direction pour une clinique plus appropriée, cependant les Africains ne sont pas très bon pour indiquer le chemin, donc on a erré un peu partout en cherchant la clinique. Il a alors commencé à pleuvoir, mais heureusement on s’est réfugié sous un pont juste au moment où la pluie s’est mise à tombé très forte. Nico a commencé à avoir froid donc même sous la pluie intense, j’ai décidé de courir vers l’hôtel (à juste cinq minutes du pont) pour chercher les ponchos. J’ai donc laissé Nico sous le pont avec les personnes sympa pour éviter qu’il ne tombe encore plus malade. En retournant vers le pont j’ai finalement trouvé la clinique qui était en fait juste au coin de la rue de l’hôtel. Je suis allé chercher Nico et je l’ai amené directement à la clinique pour la consultation…
(Avec des mecs très sympa : un d’entre eux à même prêté sa veste à Nico pour qu’il n’ait pas froid et un autre à offert son abris contre le vent … très aimable!)
Je sais j’ai l’air cruel, mais je lui voulais vraiment que du bien. Mais commençons donc au début de l’histoire. Le jour après notre arrivée à Cotonou Nico est tombé malade. Il a eu de la fièvre, des diverses douleurs et des problèmes d’intestin. Il avait assez mal donc nous avons décidé que c’était mieux pour lui d’aller voir un docteur. Le réceptionniste de l’hôtel m’a dit qu’il y avait une clinique juste au coin de la rue. En partant de l’hôtel, Nico est partit plus vite que moi en demandant au portier qui lui a indiqué vers la direction opposé de celle du réceptionniste. Lorsque on est arrivé à la clinique indiquée par le portier, on a vu que c’était une clinique seulement pour les femmes et les enfants, donc pas pour Nico.
vendredi 10 juillet 2009
J’ai de nouveau grossi...
Les animaux sauvages de l'Afrique
Les animaux sauvages de l'Afrique sont après tout la plus grosse
attraction touristique. Mais malheureusement, à notre époque, les moutons, les chèvres et les vaches sont pratiquement les animaux les plus sauvage que l’on peut trouver ici en Afrique. Donc heureusement que nous sommes allés au parc de la Pendjari au nord du Bénin où ils existent encore là-bas pas mal de ces espèces d'animaux pour qui l'Afrique est devenu si bien connu. Et leur nombre dans ce parc augmente (ce qui est assez inhabituel pour l'Afrique).
Le premier animal que nous avons rencontré était un éléphant… enfin un groupe de quatre éléphants. En fait, nous avons vu les éléphants quatre fois au total. Nous avons aussi vu différentes antilopes, deux espèces de singe,
une sorte de sanglier, des hippopotames, des différents espèces d'oiseaux, des tortues et même trois bisons (dont j'étais assez heureuse de voir, car nous avions passé presque une journée à chercher les lions et seulement peu de temps pour la recherche des buffles).
Pour ce que nous savons maintenant les lions étaient assez proches (et d’après un des gardiens du parc qui les a vu le même soir que nous étions là, mais aussi un guépard près de l'endroit où nous avons passé la nuit).
Mais malheureusement nous n’avons pas pu les trouver. Le mieux que l’on a réussi a été de voir quelques empreintes de pattes très fraîches d'une lionne et d’entendre un rugissement pas trop éloigné. Lors de notre séjour au parc nous avons rencontré un journaliste béninois et un étudiant français travaillant sur un documentaire sur le parc Pendjari. Ils nous ont dit qu'ils avaient vu des lions en pleine période de reproduction le jour devant notre arrivée. Toutefois, même en suivant le journaliste et son équipe, nous n’avons pas pu les retrouver. L'herbe était déjà trop haute (c'est pourquoi il est préférable d’aller visiter un parc africain à la fin de la saison sèche...). Quel dommage ! - Ou dans les mots de Nico: « Au moins comme ça, nous aurons une bonne raison de revenir faire un safari en Afrique, pour voir un lion... »
Pour ce que nous savons maintenant les lions étaient assez proches (et d’après un des gardiens du parc qui les a vu le même soir que nous étions là, mais aussi un guépard près de l'endroit où nous avons passé la nuit).
La tempête de sable
Le joli oiseau bleu à queue longue…
Burkina Faso
Deux semaines et demi au Burkina et nous avons vu et vécu pas mal de choses.
Dans le sud-ouest du pays, nous avons vu nos premiers
hippopotames (et nous y sommes allés deux fois le même jour: une fois le matin quand ils étaient encore plutôt somnolents et une fois le soir quand ils étaient actifs et bruyants).
Nous avons nourri des poissons sacrés (une sorte d’offrande). Nous sommes allés à une belle cascade et nous avons visité des formations rocheuses intéressantes. Étant donné que cette région et surtout Bobo sont plutôt artistique, c’était un lieu idéal pour Nico pour avoir sa première leçon de Djembé (tambour africain), qu'il a vraiment apprécié. Autrement, à proximité d’un des endroits où on logeait était un SOS village d'enfants et comme ça nous avons eu la possibilité de le visiter pour voir si les dons sont bien dépensés (et je pense qu'ils font un superbe travail à cet endroit).
Puis
dans le nord nous avons fait une petite excursion à dos de chameau et avons dormi à la belle étoile dans les dunes puis dans un petit village traditionnel Touareg avant d'arriver en même temps que les caravanes sur le marché célèbre de Gorom-Gorom
(malheureusement, il semple que les gens ne vont plus avec les chameaux au marché, mais avec des chariots d’ânes, des vélos, des motos et n’importe quelle autres choses plus confortable et plus rapide). La tempête de sable et le mal de derrière était inclus gratuitement dans cette aventure. Aussi inclus étaient des vêtements très sales et un voyage vers la capitale dans un bus sans fenêtres et avec des poules accrochés au-dessus des sièges.
Burkina est vraiment un beau pays avec des gens très aimables et serviables. La nourriture est vraiment délicieuse, mais alors je dois avouer que nous avons aussi mangé un certain nombre de repas plutôt européen. Mais nous avons aussi essayé la cuisine locale comme le tô à base de céréales noir avec du lait de vache frais dans le petit village Touareg où on a dormi au cours du voyage de chameaux et du foutou avec les diverses sauces. Pour le petit déjeuner on avait une alternative délicieuse au petit déjeuner européen qui était une omelette dans une baguette beurrée.
Puis
Burkina est vraiment un beau pays avec des gens très aimables et serviables. La nourriture est vraiment délicieuse, mais alors je dois avouer que nous avons aussi mangé un certain nombre de repas plutôt européen. Mais nous avons aussi essayé la cuisine locale comme le tô à base de céréales noir avec du lait de vache frais dans le petit village Touareg où on a dormi au cours du voyage de chameaux et du foutou avec les diverses sauces. Pour le petit déjeuner on avait une alternative délicieuse au petit déjeuner européen qui était une omelette dans une baguette beurrée.
Le train
Réunification avec Nico
Après être remonté de Lomé, je suis revenu pour deux semaines à Sokodé puis vraiment excité je me suis mise en route vers Ouagadougou (Burkina Faso), pour aller rencontrer Nico...
À 7:30 le matin, j'ai quitté la maison à la recherche d'un minibus en direction du nord. Après seulement une heure, j'avais trouvé un bus et personnellement, j’étais plus que prête à partir, mais bon ... ici, en Afrique les autobus partent seulement quand ils sont plus que plein et là c'était le cas justement à 10h30 du matin après 3 heures d’attente. Bien que… même avec le bus prêt, on ne pouvait pas partir car une dame avait décidé de partir pendant l'attente pour une visite du marché et il a fallu que nous la retrouvions d'abord. Le trajet a ensuite été long, avec de nombreux arrêts sur le chemin pour prendre et laisser des passagers de temps en temps, pour manger et même pour prier. La route, au nord de Kara, était dans un assez bon état, mais aux autres endroits la route avait une multitude de trous ahurissants. Les amateurs de slalom auront eu une pure joie ici, mais peut-être pas les personnes souffrant du mal de voyage. Il était déjà plus de 18h00 quand nous sommes arrivés à Dapoang, mon arrêt pour la nuit.
A 6h15 le lendemain matin, le voyage à continué... D'abord, un taxi sur bondé vers Sinkasse (la ville frontière), ensuite une moto qui m’a amené aux postes de chaque coté de la frontière et puis finalement à la station de bus du coté Burkina Faso. Là, j'ai trouvé assez rapidement un minibus (j'ai malheureusement manqué les plus rapides et plus grands bus, car le fonctionnaire du Burkina Faso était très lent pour me faire un visa ...). Mais là encore comme d'habitude, j'ai dû attendre un long moment pour le départ. En attendant j'ai été occupé par un alcoolo local, qui ne voulait pas me quitter, même avec les nombreuses tentatives faite par les employés de la station de bus pour le convaincre d'aller ailleurs. Finalement, le départ du bus à 9h00 m'a sauvé. Le trajet a été plus confortable que celui du jour d’avant, mais c’était aussi très long avec de nombreux arrêts ennuyeux ...
À 16h00 je suis finalement arrivée à l'aéroport de Ouagadougou. Normalement, l'avion de Nico avait arrivé à 15h40 et donc je devais être parfaitement à l'heure pour ça, mais en fait son avion était en retard ... et j'ai dû attendre 5 très longue heures avant que Nico apparaisse enfin...
À 7:30 le matin, j'ai quitté la maison à la recherche d'un minibus en direction du nord. Après seulement une heure, j'avais trouvé un bus et personnellement, j’étais plus que prête à partir, mais bon ... ici, en Afrique les autobus partent seulement quand ils sont plus que plein et là c'était le cas justement à 10h30 du matin après 3 heures d’attente. Bien que… même avec le bus prêt, on ne pouvait pas partir car une dame avait décidé de partir pendant l'attente pour une visite du marché et il a fallu que nous la retrouvions d'abord. Le trajet a ensuite été long, avec de nombreux arrêts sur le chemin pour prendre et laisser des passagers de temps en temps, pour manger et même pour prier. La route, au nord de Kara, était dans un assez bon état, mais aux autres endroits la route avait une multitude de trous ahurissants. Les amateurs de slalom auront eu une pure joie ici, mais peut-être pas les personnes souffrant du mal de voyage. Il était déjà plus de 18h00 quand nous sommes arrivés à Dapoang, mon arrêt pour la nuit.
A 6h15 le lendemain matin, le voyage à continué... D'abord, un taxi sur bondé vers Sinkasse (la ville frontière), ensuite une moto qui m’a amené aux postes de chaque coté de la frontière et puis finalement à la station de bus du coté Burkina Faso. Là, j'ai trouvé assez rapidement un minibus (j'ai malheureusement manqué les plus rapides et plus grands bus, car le fonctionnaire du Burkina Faso était très lent pour me faire un visa ...). Mais là encore comme d'habitude, j'ai dû attendre un long moment pour le départ. En attendant j'ai été occupé par un alcoolo local, qui ne voulait pas me quitter, même avec les nombreuses tentatives faite par les employés de la station de bus pour le convaincre d'aller ailleurs. Finalement, le départ du bus à 9h00 m'a sauvé. Le trajet a été plus confortable que celui du jour d’avant, mais c’était aussi très long avec de nombreux arrêts ennuyeux ...
À 16h00 je suis finalement arrivée à l'aéroport de Ouagadougou. Normalement, l'avion de Nico avait arrivé à 15h40 et donc je devais être parfaitement à l'heure pour ça, mais en fait son avion était en retard ... et j'ai dû attendre 5 très longue heures avant que Nico apparaisse enfin...
vendredi 5 juin 2009
Le roi avec les 99 épouses
Malheureusement, je n’ai pas réussi à rendre visite à la tombe du célèbre roi ou ses possessions,
mercredi 3 juin 2009
Retour à Lomé
vendredi 29 mai 2009
Eglise
Dimanche dernier, on a emmené tous les enfants (sauf les bébés) à l’église. C'était la première fois pour eux donc ils étaient super heureux...

Et non, je ne suis pas devenu religieuse. C’était juste parce que l’éducatrice, qui est énormément religieuse, voulait emmener les enfants à l’église. Toutefois un adulte pour 16 enfants était un défi trop grand pour elle, donc c’est pour cela que je suis allé avec elle.
Et non, je ne suis pas devenu religieuse. C’était juste parce que l’éducatrice, qui est énormément religieuse, voulait emmener les enfants à l’église. Toutefois un adulte pour 16 enfants était un défi trop grand pour elle, donc c’est pour cela que je suis allé avec elle.
samedi 16 mai 2009
J’étais malade…


NB : J’ai demandé au docteur un avis pour quelle nourriture était le mieux pour aider la guérison de la diarrhée. Avec un grand sourire il a répondu ‘Tu peux manger tout ce que tu veux’…
Combien d'adultes et d'enfants pouvez vous mettre dans une voiture?
Le jeudi 16 avril on est allé avec la plupart des enfants de l’orphelinat à un centre médical pour faire les vaccinations. Pour l’aller il y avait ‘seulement’ 18 enfants ages de 6 moins a 4 ans dans la voiture avec nous 4 adultes. Un exploit! Les sept plus petits bébés étaient arrivés plus tard avec les autres 'tatas'. Mais pour le retour vu qu'il était trop tard pour demander au chauffeur de taxi de faire deux fois la route (les autres tatas étaient déjà parti a pied et avaient amené une des petites filles)…
On a donc mis les grands a l'arrière, et j’ai pris deux des petits bébés et l’éducatrice aussi. Entre nous deux les plus grands bébés étaient assis. Et de l’autre coté de l’éducatrice il y avait un petit bébé dans une chaise de bébé et un plus grand par terre. La troisième tata, qui a assis à coté de conducteur, a pris deux petits bébés dans les bras et deux des plus grands bébés par terre. En tout et pour tout, il y avait 24 enfants et 4 adultes dans la voiture. C’était impressionnant! Malheureusement, je ne le savais pas a l'avance qu'on allait faire les vaccinations ce jour la et donc je n’ai pris pas mon appareil photo.
Je n’avais jamais pensé que ce serait possible de mettre 24 enfants et 4 adultes dans une voiture. Mais oui, on a réussi!
On a donc mis les grands a l'arrière, et j’ai pris deux des petits bébés et l’éducatrice aussi. Entre nous deux les plus grands bébés étaient assis. Et de l’autre coté de l’éducatrice il y avait un petit bébé dans une chaise de bébé et un plus grand par terre. La troisième tata, qui a assis à coté de conducteur, a pris deux petits bébés dans les bras et deux des plus grands bébés par terre. En tout et pour tout, il y avait 24 enfants et 4 adultes dans la voiture. C’était impressionnant! Malheureusement, je ne le savais pas a l'avance qu'on allait faire les vaccinations ce jour la et donc je n’ai pris pas mon appareil photo.
Je n’avais jamais pensé que ce serait possible de mettre 24 enfants et 4 adultes dans une voiture. Mais oui, on a réussi!
vendredi 24 avril 2009
Mes colocataires

La saison de la pluie


Les étoiles
samedi 11 avril 2009
Des mangues
Le concert
Hier je suis allé à un concert. C’était très intéressant. Au début, on était juste assez a attendre que ça commençait, avec 2 DJ de Lomé qui essayait de nous distraire un peu. Le podium était complètement vide et assez petit. On était assit sur des chaises en plastique. Puis, ça a finalement commencé, cependant avec au début des artistes locaux (je pense), ce qui me rappelait les mini play-back que j'avais l'habitude de regarder a la télé, car ce n'était que vraiment du play-back, assez mauvais il faut le dire. Cependant les artistes étaient encore assez jeunes. De temps en temps, des jeux étaient organisés pour gagner des lots (téléphone portable, t-shirt). Apres une longue attente, le vrai concert a commencé [oops, j’ai oublié le nom du groupe, mais je pourrais sûrement le chanter]. Il était du Bénin, et en ce moment très populaire au Togo, et aussi connu internationalement (du moins au moins en Afrique). C'était vraiment très bien, mais comparé aux concerts en Europe, il faut dire que tout était assez simple: pas de déco, pas d'effets lumière, pratiquement pas de gars de la sécurité... Bref, après tout on venait pour la musique, et c'était superbe.
P.S.: Le artist est Petit Miguelito.
P.S.: Le artist est Petit Miguelito.
La vie sans les françaises...


La nourriture est a peu près encore la même; juste que maintenant elle est préparé par Georgette au lieu d'un membre de l’association. Bien sûre je l’aide un peu. Parfois ils m’offrent quelques choses de différent. Hier, par exemple, on a mangé des pâtes de mais avec une sauce épicée, qu’était très bon. Aujourd’hui on a mangé du poisson. L’autre jour, j’ai eu l’opportunité de goûter un fromage soja (c’est pratiquement la même chose que le tofu chez nous en Europe) et

Je connais maintenant aussi plus de gens ici. Comme ça je peux sortir quand je veux au lieu de toujours rester à la maison après le travail … En général, il y a beaucoup de gens qui me demande d’être leur correspondante (même des étrangers qui m’approche dans la rue ; mais très gentiment) ; malheureusement ce n’est pas possible pour moi d'écrire à tout le monde. Donc, si il y a quelqu’un qui aime écrire des lettres ou des e-mails, il y a beaucoup de gens qui serait très content d’échanger- il faut juste me le dire…
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